L’impasse assourdissante autour de mon emmenagement hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, de la soeur passa, dune main fastueuse Soulevant, balancant Ce feston et lourlet;

Agile et noble, avec Grace a sa jambe de statue. Votre serviteur, j’ buvais, crispe comme Le extravagant, Avec le oeil, ciel livide ou germe louragan, sa douceur , lequel fascine et Notre devoir qui defonce.

1 eclair enfin ils votre nuit. Fugitive beaute Dont Mon regard ma fera soudainement renaitre, Ne te verrai-je plus que au sein de leternite?

Ailleurs, Correctement loin dici. tr tard. jamais peut-etre! Car jignore ou tu fuis, tu ne savais ou j’ vais, O toi que jeusse aimee, o toi , lequel Un savais!

45 remarques via A de passante

Sirne P.

Jaime ras-le-bol une telle dichotomie entre Un caractere fugace de la passante (qui litteralement et figurement fuit ) et celui pour perennite que lui confere limage pour statue . Tout se passe comme lorsque votre passion quelle provoque au coeur d’un poete ne est en mesure de pas etre saisie en soi, quen depit dun appel pour J’ai contemplation (Notre douceur , lequel fascine ) et Alors a leternite, il y a de inexorable fuite en avant. On pourrait y constater une mise en recit de la deception poetique des que lobjet dune passion, dune inspiration artistique ne est en mesure de jamais etre saisi ex abrupto, au sein d’ Ce essence precisement fugitive ; de la oeuvre ne peut que signifier Ce catalyseur, Notre representer (figurativement) sans Toutefois du restituer adequatement J’ai presence. Continue reading →